Hostilia – Face the fire

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Ce n’est pas notre Musta qui va me contredire mais la Suède n’est pas que le pays du Köttbulla, des meubles difficilement montables sans erreurs, du death metal façon HM-2W ou de Bathory. Il y a aussi des groupes de thrash metal.
Faith In Agony – Insight

Note de la SoilChroniqueuse (Musta) : 7,5/10
Faith In Agony est un quatuor originaire de Grenoble. Ils sortent leur second album « Insight » le 24 octobre, soit quatre ans et demi après la sortie de leur premier disque “Drowned & Exalted”. Je ne connaissais pas le groupe, mais j’avais envie d’une écoute différente de ce dont je suis habituée (metal extrême et scène goth).
Scorching Tomb – Ossuary

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10
Salut ! Le monde du death peut revêtir de multiples visages, l’intention étant de faire « peur », de jouer avec la corde sensible de ce que l’être humain à de plus anxiogène tout au fond de lui. Certains musiciens emploient la carte de la technicité, d’autres de la simplicité, droit dans les tripes.
Emmon + Night In Athens + Denuit (Stockholm, Debaser Nova / Klubb DÖD, 18 octob ...

Photos + Report : Musta
J’ai assisté à un plateau aux petits oignons samedi dernier à Stockholm : trois projets musicaux issus de la culture gothique tout en étant bien différents. En effet, la tête d’affiche du soir, Emmon, est un projet solo type house mais avec une vibe clairement goth. Night In Athens est également un one woman band mais sûrement l’artiste avec l’approche la plus sombre et loufoque de la soirée (on y reviendra) et pour finir, le duo Montpelliérain, Denuit, que l’on ne présente plus.
En effet, vous avez forcément entendu parler d’eux si vous êtes un fidèle lecteur de notre webzine. Interview, live reports, photos, chroniques, on a tout fait avec Denuit (j’arrête mes âneries). Je me rends pour la première fois à la salle voisine au Debaser Strand à savoir, Debaser Nova / Klubb DÖD, largement plus sympa, plus intime et parfaitement adapté pour les artistes de la soirée. Quelques métalleux sont là, on peut apercevoir un t-shirt Absu ou Mayhem ici et là, toutefois, ce sont les gothiques Stockholmois qui ont massivement répondu présent ce samedi !
On sait qu’on est en concert goth quand on voit plus d’hommes maquillés que les femmes, des cheveux crêpés style années 80 à la Siouxie / Patricia Morrison. Mais surtout, on ne peut que noter la classe abyssale des goths de Stockholm ! Quelle élégance, quel flow, j’ai passé ma soirée à regarder tout ce beau monde pendant les entractes. Sur ce, passons aux choses sérieuses, à savoir, les concerts !
Sphere – Inferno

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10
Au menu de ce jour, le nouvel album du groupe polonais Sphere qui a pour nom « Inferno ». De base, comme disent les « djeuns », ce groupe fondé en 2002, est resté profondément ancré dans la tradition du death metal. Dès ses débuts, la musique du groupe s’inspire du son brutal et agressif du old-school puis semble évoluer au fil des cinq albums qui émaillent leur discographie, mêlant metal plus moderne et vieille école.
-ii- – Apostles of the Flesh

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8/10
“La passion charnelle reste la plus haute forme de quête spirituelle. Elle est un aperçu d’éternité.” François Cheng
Il est rare que l’on aborde dans une chronique la question du désir dans la musique. Et pourtant ! Cette notion a hanté mes cours de philosophie pendant mes années lycée, matière que pourtant je chérissais beaucoup. Mais je crois qu’à notre époque, la définition du désir est encore quelque chose de particulièrement tabou dans notre société et a fortiori, dans notre mode de pensée. Étant dans une société ancrée dans un principe manichéen de base, où le désir a du mal à être habilité dans nos mœurs qu’il faut bien tristement définir (moi qui suis plutôt d’obédience paganique, cela m’en coute de le dire) comme étant de tradition judéo-chrétienne, il est encore difficile aujourd’hui de parler du désir dans la musique.
Noirsuaire – By The Screams Of Porphyric Seraphs

Note du SoilChroniqueur (Vince le Souriant) : 9/10
Adresse au lecteur : cette chronique, deuxième d’une série de trois, est précédée de celle consacrée à Black Flame Of Unholy Tradition. Tu peux la retrouver ici
Deux titres. Voilà un format qui ne nous rajeunit pas. À l’Âge d’Or du CD, c’était un vecteur promotionnel courant, contenant souvent un single et son remix. Certes, ce n’est pas la démarche marketing qui motive ici cette sortie, mais bien plutôt une étrange maïeutique, mue par le besoin impérieux de tenir loin de soi une création enfin expulsée.
Les Bâtards du Roi – Le Chemin de l’Exil ...

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8.5/10
« C’est un vrai bâtard du temps celui qui ne se pénètre pas des mœurs qu’il observe. » William Shakespeare
On sent comme un vent de fraicheur qui souffle sur le roster du label Les Acteurs de l’Ombre Productions. Fort de groupes fidèles depuis longtemps, on sentait toutefois que certains étaient tellement en sommeil qu’il fallait renouveler le cheptel et on ne peut pas dire que la France manque de potentiels bons groupes en la matière. C’est ainsi que le label a choisi de nouvelles formations pour alimenter son insufflation qui consiste à créer une sorte de nouvelle vague black metal.
Misanthrope – Tribute to their Majesties

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10
Les tributes !
Tout le monde connaît ce genre de démarche qui donne des résultats plus ou moins probants.
Trois ans après leur dernier méfait, « Les Déclinistes », les Misanthrope revient avec un nouvel album de… reprises : « Tribute to Their Majesties » où ils revisitent onze titres allant de Metallica à Kreator, en passant par Morsüre ou Dio.
Treponem Pal – World Citizens

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10
Faisant suite à l’EP « Life Inside », voici le nouveau Treponem Pal qui a pour nom « World Citizens » et qui d’ailleurs inclus cette mini galette.
Alors, avant de continuer cette chronique plus avant, autant vous dire que même si je connais le nom de ce groupe, ne serait-ce que parce qu’il est devenu culte, je ne suis pas un grand spécialiste de ce genre de musique. Aussi vais y aller avec mes mots.














