Note du SoilChroniqueur (Christopher) : 5/10 

Il y a des albums qui restent à jamais gravés dans notre mémoire et puis d’autres qu’on a vite envie d’oublier, tout comme cet album Unreal de My Ticket Home. Lorsque j’ai vu le style du groupe du “puke rock”, je me suis dit : “mais c’est quoi ce style ?” (je n’ai toujours pas trouvé d’ailleurs.) Et puis en écoutant le skeud, ça m’a fait penser à du Néo Metal (nu metal).

Quand on évoque ce style on pense notamment à Korn, Disturbed, Linkin Park, etc. Eh bien je peux vous dire que quand on écoute My Ticket Home, on a vraiment le Linkin Park du pauvre. Le chanteur à la même voix que Chester quand il crie, j’ai même cru au début que c’était lui ; l’album quant à lui est vraiment moyen. Déjà, on à l’impression que toutes les chansons se ressemblent, identiques, le chanteur principal a une bonne énergie mais il copie trop sur Chester, hallucinant ! La batterie est lourde et la basse bien grasse.

J’ai remarqué quelques sonorités grunge dans certaines chansons mais qui n’apportent rien aux chansons. C’est vraiment dommage que ce groupe n’ait pas sa propre identité, même si l’attention de revenir à ce style est bonne. Il y a treize chansons sur l’album ; je le trouve pour ma part assez court. En gros, si vous voulez revenir au néo, autant revenir aux bases, avec un bon “Life is Peachy” de Korn, vous perdrez moins votre temps.

Tracklist :

1. Thrush (3:25)
2. Flee the Fesh (3:22)
3. Flypaper (2:58)
4. Time kills everything (3:22)
5. Hyperreal (3:04)
6. Redline (2:23)
7. Joi (3:22)
8. Gasoline Kiss (2:38)
9. Cellophane (2:44)
10. Down Life ( 2:50)
11. We all use (3:02)
12. Melancholia (3:33)
13. Visual Snow (3:25)

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