Line-up sur cet Album
- Danko Jones – Chant, Guitares
- John Calabrese – Basse
- Rich Knox – Batterie
- Guest : Marty Friedman – Guitares sur 2
Style:
Rock / PunkDate de sortie:
21 novembre 2025Label:
Perception / Reigning Phoenix MusicNote du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10
J’en ai souvent entendu parler, sans y glisser la moindre oreille, alors quand on m’a proposé de chroniquer son nouvel album, me suis dit « pourquoi pas, c’est l’occasion ! ». Je voulais vous parler de Danko Jones dont la nouvelle galette se nomme « Leo Rising » et sort le 21 novembre . Ce power trio canadien, emmené par son leader le chanteur et guitariste Danko Jones est né 1996. Et malgré toutes ces années, il semble ne rien avoir perdu de sa pêche.
Je dis ça, ne pouvant comparer ce qui a été fait avant, car d’emblée, c’est un son brut de coffre, simple et puissant qui tombe dans mes oreilles. Efficace, les titres montés de façon traditionnelle, à savoir, couplet refrain solo, défilent sans pause. En fait, c’est un mélange de punk rock, de hard rock, voire d’un peu de glam à la sauce d’un vieux Kiss, mais en version sur vitaminée, nantie de soli bien rock n’roll.
Alors voici, au travers de quelques titres mes impressions. « What You Need » est un titre taillé dans le punk rock, mais pas le sirupeux trop pop, non, celui qui a de la pêche ; le riff de « Diamond In The Rough » est simple mais efficace. « Everyday Is Saturday Nigh » possède une aura hard rock et si le refrain est assez « positif », ça passe comme une lettre à la poste. A tort ou à raison, je pense que « Hot Fox » aurait pu être un morceau pondu par Monstermagnet. Oui, je sais, j’ai parfois de drôles de comparaisons. D’ailleurs dans la même veine, pour ma part, le titre « I’m Going Blind » porte en lui « un « je ne sais quoi » de « Hey Tonight » de… Creedence Clearwater Revival, généralissime groupe des 70’, mais version punk rock (ok, je sors). « It’s A Celebration » est bien pêchu, direct dans les dents et j’aime bien les lignes de basse de « Too Slick For Love ».
Un peu plus de mal avec « I Can’t Stop » au refrain trop gentillet en ce qui me concerne, par contre le solo de « Diamond In The Rough » est assuré par Marty Friedman et il se porte bien.
Que dire de cette galette ? C’est le genre d’album bourré de suite d’accords entendus un milliard de fois, mais qui « porte au but », car vecteur d’énergie brute, et de puissance « ici et maintenant ». Le genre de musique qui fait du bien, sans se poser de questions, les amplis à fonds, et qui fait le job avec un sens certain de l’accroche dans la composition. Voilà, tout est dit pour ma part. Juste…un moment honnête et énergique.
Tracklist :
- What You Need (3:35)
- Diamond In The Rough (3:36)
- Everyday Is Saturday Night (3:27)
- I Love It Louder (3:35)
- I’m Going Blind (3:32)
- Hot Fox (3:20)
- It’s A Celebration (3:29)
- Pretty Stuff (3:07)
- Gotta Let It Go (3:31)
- I Can’t Stop (3:22)
- Too Slick For Love (3:18)
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