Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9.5/10
« Si l’on vend son âme au Diable, c’est que Dieu n’en est pas toujours acquéreur. » Robert Sabatier [mais Patrick l’a fait aussi… (Hans Aplastz)]
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Antirouille): 9/10
Le deuxième album des Belges de Carnation est paru ce mi-septembre et les gars ont mis la barre assez haut. Exit les petits défauts du premier, Where Death lies peut aisément jouer dans la cour des grands.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Pour la quatrième fois depuis 2003, Venomous Concept vient nous cracher ses insanités et sa passion pour les politiques avec une colère qu’ils ne cherchent ni à contenir, encore moins à cacher !
Le super groupe articulé autour du bassiste Shane Embury (Napalm Death, Absolute Power, Bent Sea, Born to Murder the World, Brujeria, Hicks Kinison, Insidious Disease, Lock Up, Menace, Tronos, War of the Second Dragon, Blood from the Soul, Dark Sky Burial, Mutation, ex-Antichrist, ex-Azagthoth, ex-Intestinal Infestation, ex-Meathook Seed, ex-Unseen Terror, ex-Warhammer, ex-Liquid Graveyard, ex-Drop Dead, ex-Malformed Earthborn), du batteur Danny Herrera (Napalm Death), du hurleur Kevin Sharp (Lock Up, Primate, ex-Brutal Truth, ex-Damaged) et du guitariste John Cooke (Corrupt Moral Altar, Out for Blood, Vicious Bastard, War of the Second Dragon, ex-The Atrocity Exhibit, ex-Iron Witch) revient quatre années après le dévastateur Kick Me Silly – VC III pour nous esquinter oreilles et cervicales à grand renfort de riffs d’une sauvagerie incroyable, sur des tempos principalement en mode full-speed et un chant particulièrement rageur et saturé !
Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 7/10
« La conscience à l’âme est comme le miroir où quand on est trop laid on ne veut plus se voir. » Proverbe français
Qu’est-ce que la conscience?
Combien de fois cette question subsidiaire a été posée durant les cours de philosophie? J’en ai mangé de la conscience pendant mon année de terminale littéraire, en raison de huit heures de philosophie par semaine. De même que les groupes qui choisissent des noms étranges, je commence à m’en gaver jusqu’à me remplir le gosier en dépassant toute satiété. Mais j’étais loin de me douter que je tomberais sur un groupe qui porte le nom d’un des principes philosophiques et psychanalytiques les plus discutés depuis la nuit des temps. Appeler son groupe Conscience, il faut le faire parce que c’est un concept tellement vaste et tellement sujet à des interprétations que j’en viens à me dire que ce choix est tout, sauf judicieux. Après, je suis aussi conscient (nest-ce-pas?) qu’il y a parfois un fossé entre la volonté du groupe de faire passer des messages par son nom ou par ses créations. Combien de groupes ont un nom qui, avec le temps, n’a plus rien de cohérent avec ces concepts? Fleshgod Apocalypse en est un parfait exemple : passé du brutal death metal à un metal plus symphonique et plus esthétique dans son iconographie, vous vous apercevez très vite que le nom du groupe n’a plus rien de cohérent du tout avec l’évolution. Alors, bien avant de m’atteler à la chronique de l’album In the Solace of Harm’s Way (« dans le réconfort du mal » en anglais) de Conscience, j’ai mon Jiminy Cricket qui m’a susurré de manière tyrannique que je me posais trop de questions. Ou pas assez? Nous allons voir cela.
Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 9/10
On ne présente plus Septicflesh… Le combo très prolifique du milieu des années 90 jusqu’à la fin de celles-ci, avait été plus calme depuis le début des années 2000 jusqu’à l’arrivée de l’album Codex Omega qui avait permis au groupe de revenir sur le devant de la scène en enchaînant avec une énorme tournée à travers le globe ; le show titanesque qu’ils ont offert au Hellfest 2018 n’a fait que renforcer leur notoriété au sein du public.
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8.5/10
Gaerea ,groupe originaire du Portugal, s’était fait remarquer avec son album précédent « Unsettling Whispers » sorti en 2018. Même si le groupe reprend une recette bien connue, à savoir des membres cagoulés naviguant entre le Sludge, le Death et le Black, il n’en reste pas moins intéressant car le dosage des styles leur permet d’apporter une certaine fraîcheur à leur musique, leur évitant de tomber dans la redondance de nombreux groupes évoluant dans ce style.
Season Of Mist ne s’y est pas trompé en signant ce combo.
Avec « Limbo » Gaerea atteint la consécration en nous offrant un album sans concession, violent et mélodique.
Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8.5/10
Chroniquer un album du groupe néerlandais n’est pas chose aisée dû à la complexité de leur musique, Franckensteina Strataemontanus ne dérogeant pas à cette règle, tout comme il serait malvenu de dire que Carach Angren ressemble à un autre groupe.
Une fois ces choses dites nous allons pouvoir découvrir ce nouvel opus.
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
J’avais découvert les Japonais de Defiled avec leur album précédent, « Towards inevitable Ruin » (2016), qui m’avait totalement scotché avec son approche brute et barbare du Death Metal, un peu à la manière des premiers Krisiun. J’étais donc bien heureux de pouvoir me délecter du dernier en date, le sixième, « Infinite Regress. »
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Les Finlandais de …and Oceans ont marqué la fin des années 90 – début 2000 avec au moins trois albums grandioses : d’abord deux dans une veine Black Metal symphonique (« The dynamic Gallery of Thoughts » en 1998, « The Symmetry of I, the Circle of O » en 1999) avant de prendre un surprenant mais plutôt réussi virage Black électro sur « A.M.G.O.D. » (2001), voie que le groupe poursuivra d’ailleurs sur « Cypher« , disque en demi-teinte, qui marquera un arrêt quasi complet d’activité (j’occulte les sorties qui suivront : une compilation et deux splits).
Lire l'article
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10
Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de présenter plus cela Green Carnation, formation norvégienne du début des années 2000 comptant notamment dans ses rangs Tchort (ancien Emperor, Satyricon ou Blood Red Throne), qui a vraisemblablement un jour décidé que sa guitare devrait exprimer un peu de la tendresse qu’il a en lui.
Lire l'article