Reporter / Photographe : HellFé

Jour2

Devine comment s’est passée ma nuit ? Je te rassure j’ai dormi comme un bébé. Il fallait être en forme pour ce samedi de dingue. Il faut dire qu’il y a du beau monde aujourd’hui et le Festival 666 va remplir tout son espace autorisé pour cette journée. Environ 3000 personnes sont attendues, et accrochez vous ça déménage !

Reporter / Photographe : HellFé

Jour 1

En ce jeudi 07 août, direction Cercoux (17). Ah tu ne connais pas encore ? Alors laisse moi te conter ce week-end de dingue au Festival 666. Je te passe les détails de mon installation, «coucou les copains de camping»,  bla bla bla, rencontres entre festivaliers, le soleil de plomb ( oui parce que j’ai oublié de te dire que d’après les organisateurs, il fait toujours beau à Cercoux).

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

J’ai assez bassiné tout mon petit monde depuis des années avec le fait que j’étais un indécrottable adorateur du metal old school, et tout particulièrement le thrash, parfois à la limite de l’intolérance vis-à-vis des autres genres de musique (oui, enfin, n’exagérons pas quand même…), en particulier avec le côté plus moderne du genre.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

A force de m’émerveiller sur la capacité des groupes Sud Américains à nous proposer des groupes de metal old school – que ce soit heavy, thrash, death ou black metal –, je vais finir par partir là-bas.

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 7,5/10

Pas loin de 25 ans de carrière pour les Teutons de Sacred Steel, groupe né en 1997…Cela dit ils n’avaient plus rien sorti depuis « Heavy Metal Sacrifice » paru en 2016 et les revoilà avec ce « Ritual Supremacy« , nantis de nouveaux membres, à savoir Toni Ieva (basse) et Jörn Langenfeld (guitare) qui ont rejoint le groupe en 2023.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 4.5/10

“L’avenir, c’est la trahison des promesses.” Daniel Pennac

Je savais qu’un jour, j’allais y être confronté. Au fond de moi, j’espérais que cela n’arrive jamais, mais face à la déferlante, je me voilais idiotement la face. L’utilisation de l’intelligence artificielle dans le milieu artistique, je n’y suis pas totalement opposé, quand elle sert à « aider », je peux comprendre l’utilisation même s’il m’en coute beaucoup de le dire parce que cela reviendrait à un défaut de facilité déconcertant. Mais il faut se rendre à l’évidence, malgré mon côté naïf et optimiste sur la question : de plus en plus d’artistes vont utiliser l’intelligence artificielle dans la création de leur contenu (pléonasme).

Note du SoilChroniqueur (Olivier No Limit) : 8/10

Mesdames et Messieurs, voici « Cutting Through », deuxième album du groupe Mutant Sex Demon, qui est en fait un « one man band », car c’est Lord Warmoon (Devil Moon, Kirous, ex-Morgal) qui en assure tous les instruments, avec en guest, Hell Priest de Nocturnal Mass, qui joue les solos de guitare sur quelques morceaux.

Photos + Report : Rose De Lacfeld 

Il faisait déjà chaud dehors, mais au Crash ce lundi soir, c’était un véritable brasier. Trois groupes, trois ambiances, mais une seule constante : la violence sonore.

Report : Crazy Diamond
Photos : Le Marquis Arthur

Une brume légère envahit l’antre de l’Ar’Vran Fest.
Des voix s’élèvent, mystérieuses.
Rituel.
Un magicien drapé dans une cape noire,
Plumes de corbeaux perchées sur ses épaules,
Au visage barré de noir.
Il est 12h30. Le groupe Breton Tan Noz initie ce festival de deux jours avec au menu quatorze groupes de la scène Folk, Pagan et Black Metal.

Le Ar’Vran Fest, IIIe édition, fait se rejoindre la musique metal et l’univers médiéval grâce à un marché qui accueille des exposants (cyanotypes, tatouages, bijoux, illustrations, …) et une scène sur laquelle se produisent d’autres groupes et des représentations théâtrales. Des bottes de paille jonchent le sol du marché, les festivaliers et les habitants de la région s’y posent, discutent, se restaurent.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Une introduction acoustique d’à peine plus d’une minute qui laisse présager une tempête dévastatrice après un calme relatif… D’entrée, on sent que le quatuor Mexicain Crimsøn Fröxx, formé en 2021 en pleine pandémie, va nous ancrer dans une musique résolument old school. Et on ne s’y trompe pas : les premiers riffs d’“Eternal void” nous plonge dans un thrash metal des plus efficaces qui ravira ceux qui jurent principalement par la vague de la deuxième moitié des eighties.