Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

La recette est simple et rapide………….

Vous avez du hard rock ? Vous avez du punk ? Vous avez du rock ‘n’ roll ? Alors vous prenez le tout est vous me faites un album de Pain City !
Et productifs, les Norvégiens : trois albums en trois ans. Après “When life gets you” (2018) et “Keep it real” (2019), les revoilà avec “Rock and roll hearts”.
Bon, on va faire court : ils ont TRES bien écouté Motörhead ! Mais pas que ! Plus punk rock que la bande à Lemmy, on sent que l’influence Ramones est aussi présente et que le trio a dû se faire plaisir sur le bon vieux rock-a-billy de nos aînés.

Inutile de dire que les mid tempos ne sont pas souvent de mise sur cet album : douze titres d’une moyenne de trois minutes, ça ne s’encombre pas de superflu, ça va vite, c’est sautillant, ça joue sur un croisement du punk rock nineties (“A night out with your tail out”, “Rock and roll hearts”, “Soul to soul”, “Glasgow kiss”, “Made of steel”) avec la sauvagerie d’un Motörhead des années 80 (“Born hard”, “Heads down”, “Forever”, “Fake suicide”, “High society”). On se retrouve même avec du Stray Cats (“I play my guitar when I want”), histoire de trouver de l’influence sixties.

Et comme autant de réjouissances ne pouvaient pas ne pas finir en beauté, on a droit à une version survitaminée du “99 Luftballons” des excellents Nena.
Bref, ça sautille, ça fonce, et c’est une pure boîte ! Zou, on y retourne…

Tracklist :

1. Heads Down (2:29)
2. A Night Out With Your Tail Out (3:13)
3. Rock And Roll Hearts (3:35)
4. Born Hard (3:11)
5. Forever (3:42)
6. Soul To Soul (3:14)
7. I Play My Guitar When I Want (3:17)
8. Fake Suicide (3:09)
9. High Society (3:29)
10. Glasgow Kiss (3:21)
11. Made Of Steel (3:57)
12. 99 Luftballons (reprise Nena) (Bonus) (3:06)

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