Ecouter DGM, c’est comme écouter Symphony X mais en plus « épuré » et en plus « open public ».
Loin de moi l’idée de dénigrer…. Bien au contraire!

Les italiens nous servent quelque chose de plus abordable pour un profane. Parce que si Symphony X est un concentré de technique, il faut reconnaître que c’est pas non plus écoutable pour tout le monde tellement c’est riche en notes et en technicité.

The Passage, c’est comme qui dirait du bonheur simple et fluide. Moins d’emphase mais autant de niveau et de qualité. Un mix parfait de tous les bons cotés de la team Allen sans la profusion de complexité, la permanente avalanche de notes.
Subtil mélange de death et de prog’, c’est du nectar pour les oreilles. Impossible de dire qui s’en sort le mieux des membres du groupe : ils sont tous plus que bons!
Et le chant, putain…. Le chant ! Mark Basile tutoie la maestria et l’émotion de Lande avec une aisance qui me fait sortir de ma culotte à reculons !
Ils ont réussi à faire du bourrin sans fournir l’overdose qui va hélas souvent avec. Le dosage est, à mes yeux, parfaitement équilibré entre la violence maîtrisée et la mélodie du côté prog’.
Onze morceaux pour un tout petit peu plus d’une heure d’écoute et de « je vais décaner dans mon slip parce que, bordel, ça tue ! »

Çà peut pas être plus clair, non ? DGM : je plébiscite velu, alors pas besoin de m’étendre là dessus !

Vas y Mario, fais péter le limoncello !

Tracklist:
1. The Secret Part 1 (8:44)
2. The Secret Part 2 (7:32)
3. Animal (5:31)
4. Ghosts of Insanity (5:48)
5. Fallen (5:53)
6. The Passage (5:21)
7. Disguise (1:57)
8. Portrait (5:51)
9. Daydreamer (5:49)
10. Dogma (5:58)
11. In Sorrow (3:49)

Site officiel: http://www.dgmsite.com/