LandmVrks – Lost in Waves
Note de la SoilChroniqueuse (Cilou Bulle) : 7/10
Le -core, un style très décrié tant les structures sont simples et redondantes, les placements des breakdowns et des refrains sont calculables et anticipables, si bien que peu de groupes arrivent à sortir du lot en proposant quelque chose d’original. Combien de copies de groupes comme Architects dans le metalcore par exemple ?
Of the Same Kind – Dinner is Ready
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10
Un premier EP, c’est toujours un peu émouvant.
On a le sentiment d’assister à la naissance de quelque chose, en l’occurrence le groupe français Of the Same Kind qui nous annonce donc que Dinner is Ready .
Alors, est-ce que cela donne envie de passer à table ?
Unfleshed – Twisted Path to Mutilation
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10
Le label portugais Larvae Productions nous a régalé avec Skinning, le voilà qui sort de son chapeau à malice Unfleshed. Twisted Path to Mutilation a beau être le premier album du quatuor, il y a déjà une putain d’aisance dans l’art du matraquage, sur une école Cannibal Corpse – Devangelic pas dégueulasse !
Evolution Zero – Origin Of A Deviant World
Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9,5/10
Quatre ans qu’on l’attendait cet album !
Quatre longues années que je lorgnais du côté de la Normandie pour voir si rien ne débarquait non pas des grandes plages qui ont déjà bien donné dans la souffrance, mais plutôt du côté des forges d’où naît ce metal qui nous est si précieux.
K.F.R. – Shayṭān 2.0
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10
Vous êtes peut-être déjà tombé sur les œuvres picturales de Maxime Taccardi, peut-être avez-vous déjà eu l’occasion de regarder une vidéo, peut-être connaissez-vous K.F.R. uniquement pour des raisons musicales, il reste que je ne crois me tromper en écrivant que ces productions, quel que soit le support, ne laisse pas sans réaction. Du rire au dégoût, de l’émerveillement à l’écœurement, de la fascination à la peur, de la réflexion à l’angoisse…
Sol Draconi Septem – Hyperion
Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 9,5/10
Sol Draconi Septem ou quand la poésie rencontre la mélodie du black croisé au son de l’ indus. Beaucoup de groupes dans leur carrière décident de composer des concepts albums.
Ici, ce n’est pas l’album qui est un concept, mais le groupe lui-même : il s’approprie l’œuvre de science-fiction Les Cantos d’Hyperion écrite par l’auteur Dan Simmons, une œuvre composée d’un cycle divisé en deux parties possédant chacune deux romans complétés par deux nouvelles, le tout paru entre 1989 et 1997 que je vous conseille de lire si ce n’est pas déjà fait.
Les Chants de Nihil – Le Tyran et l’Esthète ...
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Cela fait pas loin d’une décennie que j’entends parler de Les Chants de Nihil mais, allez savoir pourquoi, j’avais un a priori. J’ai cru un moment que c’était du post, puis que les mecs étaient dans une mouvance NSBM (ce dont je me fous pas mal en fait), j’avais tout faux. Et deux éléments déclencheurs m’ont amené à écouter Le tyran et l’esthète.
Seide – Auakistla
Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8.5/10
Si la production de l’album précédent Beyond The Fallacy n’était pas en adéquation avec la musique du quatuor parisien, maintenant ce n’est plus le cas avec Auakistla;
Seide possède enfin un son à la hauteur de la qualité musicale du groupe, qui possède sur cet album une identité sonore plus organique permettant ainsi de rendre hommage à sa musique.
Hellrock – This is Metal
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Purée, ça fait plaisir !
Oui, ça fait un putain de plaisir d’entendre un groupe capable de nous faire autant ressentir son amour du ‘pur’ heavy metal, celui de la première moitié des années 80, quand le genre est passé du balbutiement à quelque chose de non seulement crédible, mais aussi pérenne !
Maudiir – La Part du Diable
Note de la SoilChroniqueuse (Eireen Dole) : 7/10
La première fois que j’ai écouté le nouvel EP de Maudiir (la Part du Diable ), je n’ai pas spécialement accroché.
Mais j’ai voulu me donner et lui donner une seconde chance : la deuxième écoute est parfois meilleure.