Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

C’est depuis 2018 que les Haut-Savoyards de Muddles nous balancent leur musique aux influences multiples avec un aplomb qui frôle l’insolence.
A la base une formation qui jouait des reprises, le quatuor s’est vite mis à composer et c’est en 2019 qu’est sorti un premier EP et aujourd’hui ce premier full length.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 9,5/10

“Croire en une source diabolique supernaturelle n’est pas nécessaire ; les hommes sont capables de toutes ces méchancetés par eux-mêmes.” Joseph Conrad

En guise d’introduction, je vais me remémorer un petit évènement sympathique sur Facebook. Cela partait encore une fois, et comme souvent, d’un débat sur les réseaux sociaux. Nous nous écharpions un peu, mon ami de Kosmos et moi-même contre le reste d’une communauté parce que nous étions pour l’évolution de la musique black metal. Vous savez? Cet éternel débat qui oppose deux camps distincts : les puristes et les laxistes. Les puristes voudraient que le black metal ne change pas, qu’il reste comme il est dans sa forme primaire et ultra underground et toute tentative d’évolution du genre déclenche des réveils conspirationnistes terribles. Les laxistes comme moi, au pire s’en fichent royalement, au mieux apprécie la démarche de l’évolution.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille): 8,5 /10

Le trio italien Fulci est présent sur la scène death metal depuis 2013. Leur nom est un hommage à Lucio Fulci, réalisateur, scénariste et acteur italien, qui se lança dans les années 80 dans les films d’horreur.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 7/10

“Le masochisme est une expérience mystique.” André Pieyre de Mandiargues

Je suis un peu en deuil ce soir. Je sens que mon cher patron en a un peu marre. Il est un homme de passion, un vrai mec qui en impose dans le milieu, traçant sa route sous l’étendard fièrement placé sur les monts du metal de Soil Chronicles. Et ce soir, mon boss Chris Metalfreak est épuisé.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Un chanteur qui hurle tout aigu à s’en déchirer les cordes vocales, des guitares aux riffs rapides et saccadés, une basse qui claque comme un coup de fouet sur le dos, une batterie en mode tachycardique…
Pas de doute, on nage méchamment dans un thrash metal dans sa forme la plus old school !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Présents sur la scène metal depuis 2008, les belges de FireForce n’ont de cesse de nous proposer un power metal des plus puissants et crédibles depuis leur premier EP (Moonlight lady) en 2009.
S’en sont suivis les excellents albums March on (2011), Deathbringer (2014) et Annihilate the evil (2017), suivi d’un EP en 2019 (The iron brigade).

Note du SoilChroniqueur (M.L.A.M.) : 9/10

Pestilence est une légende du death metal qui a quand même pondu deux œuvres majeures, j’ai nommé : Consuming Impulse et Testimony of the Ancients – j’aurais pu rajouter Spheres à la liste mais l’album ne fut pas compris à l’époque car trop avant-gardiste en son temps pour la grosse majorité des fans de death metal.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10

Un nouvel album de Desaster me fera toujours un Plaisir incroyable tant la formation allemande me fascine depuis un certain A touch of medieval darkness qui date déjà de 25 années.
Un black / thrash toujours très fluide, résolument old school, avec cette capacité à nous envoyer pleine face des titres d’une brutalité inhérente au genre, c’est toujours un gage de satisfaction avant même qu’on ne lance les titres dans le lecteur !

Note du SoilChroniqueur (Gothicmelody) : 08/10

En attendant le retour des concerts, Amorphis nous fait voyager dans le temps en proposant un enregistrement de leur concert du 7 décembre 2019 à Helsinki.
Amorphis c’est trente ans de carrière, une flopée d’albums et de tournées. Un grand nom du metal finlandais.
Comme souvent avec le groupe, les pochettes d’albums sont artistiques et stylisées et c’est le cas ici: Un œil, des symboles, du rouge foncé, du marron, du bronze… Ca attire l’œil sans en faire des tonnes.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Quand on entend parler de thrash metal, que ça vient du Brésil, et qu’en plus ça sonne totalement old school, on pense de suite – du moins en ce qui me concerne – au Sepultura de la grande époque, à savoir celle de Beneath the remains / Arise !
Et c’est avec un nom digne de figurer dans le prochain film d’Astérix que Sacrifix nous abreuve de huit titres – dont une intro instrumentale – qui fera frémir de plaisir tout thrasher digne de ce nom.