Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Un regard rapide sur leur Facebook et on lit que ce quatuor Allemand se réclame de Taletellers, Motörhead, Zodiac Mindwarp And The Love Reaction, The Hellacopters, Gluecifer, Backyard Babies, Turbonegro ou Danko Jones. Sacrés farceurs concernant le premier groupe, c’est celui qu’ils utilisaient avant de se rebaptiser AC Angry.

Et la farce ne s’arrête pas là : appeler son deuxième album « Apetite for Erection » relève de la bonne vieille blague potache à base de pipi caca zizi chatte prout ! Ne parlons même pas de la pochette avec ses armes de destruction (tiens ?) disposées de façon un tantinet phallique !

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10

Ah ça, c’est gentil !

Des fois, tu chroniques des groupes underground russes ou ukrainiens avec une quasi impossibilité de retranscrire les titres dans ta prose, mais si en plus les mecs se la jouent en morse, ça va devenir compliqué.
Déjà, le line up : débrouille toi avec ça. Tu sais juste qu’un point sert de chanteur et qu’un autre point sert de multi instrumentiste. Rajoute à ça qu’ils jouent du black metal et tu le sens venir, le gros jeu de mot sur les points noirs ?
Toujours est il que nos deux comédons Australiens de Mesarthim nous sortent ce nouvel album « .- -… … . -. -.-. . » voulant dire „Absence“ en morse et que l’intitulé de chaque titre n’est ni plus ni moins que les nombres de 1 à 6 dans le même langage.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9,5/10

En matière de Brutal Death Métal Technique, Defeated Sanity fait partie de mes groupes de référence. « Passages into Deformity » m’avait atomisé, de même que leur prestation scénique en décembre 2013 au Klub (Paris) et la découverte à rebours de la discographie des Berlinois n’a fait que me conforter dans cette opinion, avec un faible pour la putrescence de « Psalms of the Moribund » (2007). Du coup, quiconque connaît ce groupe sait quel est son potentiel, ce nouvel album étant exactement ce que l’on attendait de lui, en dix fois mieux.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Un rapide coup de projecteur sur Excruciate 666, groupe de Black Métal français actif depuis 1996 et auteur de deux albums (je passe sur la flopée de démos, splits, etc.) : « Riding Fires of Hate » en 2010 et « Rites of Torturers » en 2013.
Le programme est clair : guerre et brutalité. Le quatuor évolue dans le registre le plus extrême du Black, celui des vieux Marduk ou d’Impiety, donc ça joue vite, fort, ça gueule comme une légion de démons en rut, ça balance des riffs secs comme autant de coups de fouets, bref on ne se fend pas trop la poire à l’écoute des huit titres.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Quand tu faisais du Black Metal au milieu des années 90 et que tu étais signé chez Moonfog Productions, on peut dire que ça avait du sens. Cela voulait dire que tu incarnais une forme d’intégrité et d’authenticité, que tu jouais en respectant l’esprit du Black mais surtout que ta musique tenait salement l’autoroute de l’enfer, pneu cranté et mitaines à clous.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

C’est qu’ils ont quand même réussi à nous faire peur, les Nightmare.

A l’été 2015, les frères Amore (David le batteur et Jo le chanteur) s’en vont en claquant la porte… Les éternelles dissensions internes… qui ne regardent qu’eux.

Bref, les rumeurs les plus folles commençaient à fleurir sur les réseaux sociaux : comment Nightmare allait-il survivre à un tel tremblement de terre ?

Chris, batteur de Heavy Duty, répond à nos questions.

Entretien avec Born from lie pour faire le retour sur l’année 2016 riche en émotion.

Graviton Music Services présente le Nouveau Clip vidéo en exclu de Undawn

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 7/10

Voici une bien belle surprise !

Gallow’s Pole est une formation autrichienne de Hard Rock existant depuis 1975, plus de quarante années d’existence, mais qui pourtant est restée dans l’ombre. Peut-être a-t-elle mis trop de temps à ses débuts pour écrire les albums ? Le premier, ‘In Rock we trust’, sort en 1982, et il faudra attendre sept années pour ‘We wanna come Home’ puis re-dix ans pour ‘The Smile of the Dolphins’. Cela nous fait donc trois albums en vingt quatre ans, à une époque où les autres formations enchaînent les disques tous les deux ans en moyenne. Mais depuis le quatrième opus sobrement intitulé ‘IV’ en 2008 Gallow’s Pole retrouve le temps nécessaire à l’enregistrement et enchaîne les disques à vitesse normale, tous les deux ans. Nous voici donc avec ‘Doors of Perception’, le huitième du combo.