Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

Quand, dans la bio du groupe, tu lis “FFO : Venom, Bathory, early Mayhem, Discharge, Anti-Cimex, Amebix, Raspberry Bulbs, G.I.S.M., Nightfell…”, les fans comme moi de ces groupes ont la curiosité qui se met directement en éveil.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 9,5/10

Quatre ans après l’excellent « Paraphiliac Perversions », Putrid Pile revient enfin avec un nouvel album : « Revel in Lunacy ». Pour ceux qui connaissent déjà Shaun LaCanne, l’homme derrière le groupe, ne vous attendez à rien d’autre que ce qu’il sait faire de mieux : un death metal brutal et technique parfaitement produit. La batterie programmée est d’ailleurs tellement monstrueuse qu’on pourrait en venir à se demander à quoi servent encore les batteurs dans le metal (extrême particulièrement) tant les humains sonnent étonnamment comme des machines. Mais trêve de débat stérile, plongeons-nous dans ces onze nouvelles compositions.

Première surprise, le son s’est légèrement éclairci, moins slam death que sur le précédent notamment. Loin de faire perdre à l’ensemble de sa brutalité, cela rend au contraire le tout plus digeste, d’autant que l’homme a pris soin de particulièrement travailler ses parties de guitare, parfois plus mélodiques (oui, le mot est lâché) mais toujours aussi véloces dès lors qu’il s’agit de placer des plans alambiqués.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 7/10

Jeune formation venue défendre les droits du Hard Glam de Lettonie, Bloody Hells sort son premier opus « Ignite The Sky » sous le label Frontiers Records.

Quitte à faire dans le Glam autant en faire assumer tous les clichés et dans ce domaine Bloody Hells ne s’en sort pas trop mal, il faut l’avouer. On a droit à des musiques simples aux refrains qui restent facilement en tête, des solo très aériens, une basse qui groove bien et surtout un chanteur frisé qui aime à monter dans les octaves.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10

A tort ou à raison, j’ai toujours considéré que FM était ce qu’il se faisait de mieux en matière de (hard) rock mélodique. C’est comme ça ! Non que je sois un fan absolu, on n’en est pas à ce point-là, mais depuis que la formation londonienne a sorti un jour l’album “Tough it out” en 1989, j’ai toujours eu une petite tendresse pour elle.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10

Il nous vient tout droit de Leipzig et nous propose son premier full length après l’EP “Urgewalt” sorti l’an dernier. Matthias Kempe, connu aussi sous le pseudo “Alastor” et ici en tant que Mts (Evil Warriors, I I, ex-Antlers, ex-Devil Lee Rot, ex-Motor, ex-Pirates of Acheron, ex-Thromos, ex-Nuclear Nature) et son projet solo YounA nous balance son black metal cru, misanthropique et violent avec un plaisir qui confine au sadisme !

En sept titres pour 38 minutes de violence sombre et torturée, ce “Zornvlouch” chanté en vieil Allemand nous retrace toute la furie d’un black metal auquel adhéreront sans complexe les fans du genre restés ancrés dans la veine des nineties made in Scandinavie !

Blasts et violence musicale au programme, le black metal de YounA se veut particulièrement brutal et haineux, sous forme de longues complaintes d’une intensité remarquable, ne laissant que peu de temps à l’auditeur pour reprendre son souffle !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Les Finlandais de Purtenance ont beau avoir sorti leur premier album (« Member of Immortal Damnation ») en 1992, qui succédait à un EP paru un an plus tôt (« Crown Waits the Immortal »), et ainsi bénéficier de l’aura des formations issues des 90’s, le groupe n’a finalement commencé à faire parler de lui qu’au début des années 2010, « Buried Incarnation » étant donc le quatrième LP en date.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

Du début à la fin de cette chronique, inutile de chercher le mot “guitare” quelque part : il n’y en aura pas !

Zwaremachine, c’est de l’industriel, de l’EBM et toutes ces sonorités électroniques glaciales au possible propres aux groupes des années 80 comme Front 242, Skinny Puppy, Nitzer Ebb, A Split Second ou plus récemment And One ou Homicide Division !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

J’avais donc découvert les Espagnols d’Aversio Humanitatis en 2017 grâce à leur précédent EP « Longing for the Untold » et j’en avais fait alors une chronique assez élogieuse. Une signature chez Debemur Morti Productions plus loin, revoilà donc le trio qui vient nous présenter son deuxième album : « Behold the Silent Dwellers. »

Note du SoilChroniqueur (Moky) : 7/10

Amis des journées ensoleillées, des oiseaux qui piaillent et des petits lapins, bonjour.
Cet album est fait pour vous. Ou presque. Parce que dans le monde de ces chiliens, le soleil vous grille à sec, les oiseaux sont empaillés et des lapins, il n’en reste que des carcasses pourrissantes.

Note du SoilChroniqueur (M.L.A.M.) : 8 /10

Isabella, la guitariste fondatrice du groupe, a donc commencé sa carrière en 1989 et n’est pas une novice – elle a même joué dans Rock Goddess entre 1994 et 1995 mais aussi chez les thrasheuses suédoises d’Ice Age en 1989. Quant à Self Disgrace, le groupe s’est formé en 2007, a sorti une première demo en 2009 puis a splitté en 2009, c’est donc sept ans plus tard que le groupe renaît avec un nouveau line-up.