Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 7/10

Oscuro tormento est le quatrième album de la formation chilienne Gangrena. Putrefacción, De vuelta al terror et Gangrena sont respectivement parus en 2008, 2011 et 2015. Suivra une compilation, 10 Años de Putrefacción en 2017. C’est encore une fois Australis Records, label chilien qui fait son maximum pour promouvoir les groupes de son pays, qui signe ce dernier opus sorti ce début septembre.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9/10

Après avoir sorti deux EP, Killing Spree en 2016 et Watching You Die en 2018, Cancerfaust nous revient avec un premier album, Let the Earth Tremble , signé par Godz ov War Productions.

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 7,5/10

Enfin, il est arrivé, le premier EP du groupe de Metal Industriel Français Explicit Human Porn.
Il aura fallu attendre quatre ans avant de pouvoir mettre les mains sur cet EP car le groupe est né en 2016. Pour ceux qui avaient pu le voir, leur premier clip nous avait mis l’eau à la bouche même si celui-ci a été censuré.

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 8,5/10

Le combo Parisien Mortis Mutilati nous revient avec un album dont le concept est basé sur la catastrophe aérienne qui a eu lieu le 23 Novembre 1964 à Rome, ayant coutée la vie à 50 personnes.
Pas commun comme sujet pour développer un album mais, quoiqu’il en soit, voyons si cet opus connaitra un meilleur destin que le vol en question.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8,5/10

Encore une formation black metal française signée par Les Acteurs de l’Ombre ? Encore un one-man-band ? Et en plus ils ont le culot de faire un Ulule pour une box en bois à 50 exemplaires numérotés ?

Mais oui ! Et c’est ça qui est bon ! Putain, rien que le nom, Crépuscule d’hiver, c’est black à mort ! Genre Paysage d’hiver et toute la scène canadienne qu’on adore, et l’artwork est tellement somptueux que oui, c’est génial de lancer des projets ambitieux et hyper qualitatifs sur des trucs totalement underground. Bon, je n’ai pas acheté la box mais je me suis fendu d’un t-shirt histoire de soutenir l’initiative, j’ai hâte de le recevoir, il va claquer étant donné que c’est la pochette de Par-delà Noireglaces et Brumes-Sinistres.

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 9,5/10

Originaire d’Edmonton, Sadistic Embodiment voit le jour en 2017. Cette jeune formation publie deux EP l’année suivante puis un autre en 2019. Ce mois de septembre voit l’arrivée dans les bacs de leur premier album, Blood Spell, autoproduit.

Pour les puristes du death metal et plus principalement les fans de Cannibal Corpse, et ils sont nombreux, « Sadistic Embodiment » va forcément vous dire quelque chose : c’est le titre de la deuxième piste du treizième opus du groupe, A Skeletal Domain sorti en 2014. Mais voilà, entre notre groupe canadien et le géant américain, la comparaison s’arrêtera là. (Bon, il y a bien un Fisher dans les deux groupes, mais tu ne vas pas commencer à faire ton petit casse c…pieds)

Note du SoilChroniqueur (Ascirias) : 9/10

New Doom, voilà comment Jaani Peulhu nous décrit l’album de Mercury Circle dont il est le principal auteur. Un nouveau style pour un nouveau groupe, n’est-ce pas un peu présomptueux que de dire cela ?

A la croisée de beaucoup de chemins, cet album surprend par son approche artistique.
Nous retrouverons les teintes de Swallow The Sun dont Jaani est le claviériste et le second chanteur, mais au-delà de cette ressemblance, l’artiste nous expose toute l’étendue de sa culture musicale.

Note du SoilChroniqueur (Quantum) : 8.5/10

« La vie n’est pas un problème à résoudre mais une réalité qui doit être vécu. » Søren Aabye Kierkegaard

Pour surfer assez régulièrement sur les réseaux sociaux, je m’aperçois qu’il y a une recrudescence importante d’une sorte de « nostalgisme ». Ce que l’on appelle le saudade dans un mouvement littéraire du Portugal au vingtième siècle qui mélange des concepts étonnants, et qui conduisent à ne pas avoir de traduction française exacte : la nostalgie et l’espoir. C’est assez complexe à comprendre mais il faut s’imaginer que lorsque nous sommes dans la nostalgie, nous avons un espoir qui se créé et qui consiste à soit revenir en arrière, soit attendre que le manque qui induit la nostalgie revienne.

Un album, deux chroniqueurs, deux avis…

Note du SoilChroniqueur (Antirouille) : 10/10
Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 9/10

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 10/10

On va de suite spoiler la suite de la chronique : chez Justin Greaves et Crippled Black Phoenix, s’il y a une constante d’un album à l’autre, c’est celle-ci : ou alors ils produisent un chef d’œuvre, ou ils ne produisent rien !
Album après album, qui sortent plus que très régulièrement en moyenne tous les deux ans, on en vient à ressortir les mêmes superlatifs dès qu’il s’agit de décrire ce qu’on entend.