
Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10.
Un disque de Hardcore qui sort sur un label de Métal et qui contient un pur titre de Hip Hop (« Post Armageddon Interlude »), on se croirait directement revenu dans les années 90. Et pourtant non, il s’agit bien du nouveau Terror.

Note du Soilchroniqueur (Celtikwar) : 6/10.
Non, ce n’est pas un groupe qui profite de la sortie du Bohemian Rhapsody pour sortir un disque de reprises. On est bien loin du tribute band… Et pour dire, Fleddy Melculy, c’est du Hardcore belge (et oui, tout arrive au pays de la frite et de la Jupiler).

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Il n’y a pas si longtemps, un bon camarade me remettait en place alors que je lui affirmais que je considérais Madball comme faisant partie de la seconde division du Hardcore. C’est vrai qu’en termes de charisme, d’attitude et de représentativité, le groupe incarne tout l’esprit new-yorkais mais, musicalement, je trouve que la formation a tout dit dès ses débuts en 1994 avec Set it off.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10.
En 2000, les Suisses d’Unfold m’avait bien calmé avec leur deuxième album, « Pure ». Un Hardcore à la fois lent et destructuré, gueulard et malsain, qui n’a pas pris une ride. Du coup, même si la formation n’est pas vraiment régulière quant à la sortie de ses albums (le précédent, « Cosmogon », remonte déjà à 2011), c’est avec un plaisir non dissimulé que je vais pouvoir me jeter leur dernière offrande : « Banshee o’ Beast ».

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10
Lorsque le Hardcore des années 80 et 90 est partiellement responsable de ton éducation musicale, Bloodclot ne peut qu’interpeller. Une raison simple à cela, l’on retrouve dedans deux musiciens ayant appartenu à la crème de cette scène : John Joseph (Cro-Mags) et Todd Youth (Agnostic Front, Murphy’s Law), accompagnés de Nick Oliveri (Kyuss et toute sa nébuleuse) et Joey Castillo (Danzig, Wasted Youth).
Lire l'article
Note de la SoilChroniqueuse (Excalibur) : 6,5/10
Vous aviez eu du mal à vous remettre de la dernière chanson de Renaud dans laquelle il embrasse un flic ? Vous vous disiez que le chanteur révolté avait bien vieilli et se rapprochait de la maison de retraite ? Hélas… Il semble que ce symptôme ne touche pas que notre ancien rebelle parisien et que cette maladie traverse les océans pour atteindre la côte est américaine…
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Valquest) : 7.5 10
Déjà 22 ans d’existence pour les américains de Hatebreed, 22 ans de pur hardcore sur vitaminé, et les voilà de retour avec ce 9ème album ; The Concrete Confesionnal qui disons-le d’entrée va démonter la plupart des albums de hardcore déjà sorti cette année :
L’album démarre avec « A.D » sans fioriture ni intro : Riffs de guitare rapide et massif typés Hardcore comme Hatebreed c’est le faire, une voix puissante telle un lion rugissant à plein poumon et une batterie à 10000 à l’heure qui détruit tout sur son passage. Une chose est sûre, le groupe n’est pas prêt de changer de style ou d’innover bien au contraire.
Lire l'article

Note du SoilChroniqueur (Valquest) : 7.5 /10
Après 20 ans d’activité (oui déjà !) L’esprit du clan est de retour avec ce Chapitre VI et autant le dire tout de suite il s’agit d’un grand album de Hardcore dans la pure tradition du groupe.
L’album démarre avec « Céleste » et après une courte intro le riff de guitare pachydermique et terriblement groovy du morceau nous explose à la tronche telle un coup de rangers en pleine figure le tout allié avec la voix surpuissante d’Arsène (Shiro n’étant pas présent sur cet album) et le punch de la batterie de Nicolas Bastos qui en fait un résultat explosif.
Lire l'article
C’est quand même une chouette idée qu’a eue le Ninkasi. Organiser un concert gratuit. GRATUIT! Et attention, pas un concert avec deux pauvres groupes de lycéens qui viennent nous infliger les trois accords qu’ils arrivent à aligner en croyant être les futures révélations du Metal. Non, l’orga Riot Shows a préféré nous faire venir un groupe culte de Metalcore made in USA. Shai Hulud. Shai Hulud!
Lire l'article
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg): 8/10
Sonnez hautbois, résonnez trompettes, qui feront s’écrouler les murs de Jericho : personne ne sera épargné, personne ne pourra vous sauver de vous-même. Le nouvel album de Walls of Jericho, No one can save you from yourself, arrive dans les bacs : gruntons tous cet avènement !
Indéniablement, « toute la musique qu’ils aiment, elle vient de là, elle vient du core ». C’est toujours plus flagrant avec cette lourdeur et ces textes militants, sur fond de remise en question et d’introspection, ajoutée du timbre de basse totalement dans cet esprit ainsi que les aboiements de la chanteuse qui tiennent désormais plus du rottweiler que du pitbull
Lire l'article