Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Pour moi, Profanatica, c’est typiquement le genre de groupes pour lesquels il n’y a rien de dire de plus que « un nouveau disque est sorti, si vous aimez ces Américains blasphémateurs achetez-le et si vous n’aimez pas le Black Death Métal dans ce qu’il a de plus rudimentaire, ne l’achetez pas ».

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10

Monstrueux !

Si un mot, un seul, devait résumer ce premier full length des Ibères de Qayin Regis, c’est bien celui-là ! En quatre titres d’une moyenne de dix minutes, le trio madrilène aux pseudos improbables (histoire de garder un mystère sur l’identité des musiciens) nous colle une veritable leçon de laideur et de noirceur pour un vomi (pardon, un rendu) qui frôle la beauté absolue !

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Bon sang, je viens d’écouter le dernier Slipknot, j’ai un besoin urgent et impérieux de me nettoyer les oreilles, d’oublier rapidement cette horreur. Heureusement, d’anciens membres de Lividity, CorpseVomit, Evil Incarnate, Gigan, Nachtmystium et Forest of Impaled ont décidé d’unir leurs forces pour chanter le chaos, la guerre et les crises de folie éthylique au travers d’un Black Thrash Death Métal on ne peut plus ragoûtant : Sons of Famine.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10

Ne vous laissez pas avoir par l’apparence froide et clinique de la pochette, si Abhorrot était médecin, il n’utiliserait que le marteau et la scie. Heureusement que le logo bave un peu, on se sent déjà en terrain plus connu.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Depuis ses débuts en 1996 avec son premier album Daemon Qui Fecit Terram, Hate souffre d’une comparaison avec Behemoth et, dans une moindre mesure, Vader et Belphegor. Il faut dire que la scène polonaise de la fin des années 90 reste une référence en matières de formations aussi brutales que techniques, avec ce son propre et puissant qui est devenu sa marque de fabrique.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10

Sorti initialement en janvier 2018 en autoproduction (cassette et digital), ce premier full length des Chiliens de Rebirth in Flames se voit ressortir en format CD chez Australis Records qui, décidément, a le nez creux pour nous trouver des petites pépites Sud Américaines qui continuent à nous proposer des musiques old school comme si le temps s’était arrêté entre 25 et 30 ans en arrière.

Pour le coup, ici, on nage en plein début des années 90 avec ce black / death metal, mélodique, que n’aurait pas renié le Dissection de The somberlain ou Storm of the light’s bane, Satanic Warmaster, Lord Belial ou Sacramentum.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 6,5/10

Cinq albums et trois EP depuis 2007, Nierty ne chôme pas. Bon, il n’y a pas non plus besoin d’être un génie en gestion de projets pour savoir qu’une forte productivité rime rarement avec qualité, mais ne vous arrêtez pas à cette pique gratuite, la formation du Pays de Galles, menée par Skaven, a tout de même quelques arguments à faire valoir.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7,5/10

Troisième album pour les Chiliens de Siaskel après des débuts en 2014, l’effort précédent Haruwen Airen (2016) ayant été fort apprécié des amateurs de Black Death Metal. Me concernant, Xo’on Hauk Sho’on est mon premier contact avec la formation, il me sera donc difficile de faire des comparaisons, mais je peux déjà m’arrêter un instant sur les aspects visibles de la formation : le logo et la pochette, très réussis, laissent à penser que l’on se situe dans la frange la plus obscure du registre ; quant à la longueur des quatre titres (entre huit et douze minutes), cela pourrait renvoyer à une certaine tendance actuelle où les croisements musicaux impurs amènent à des durées inaccoutumées pour de la musique extrême autre que le Doom.

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 8/10

Destin assez incroyable pour les Philippins de Deiphago qui existent depuis 1991 mais n’ont sorti leur premier album qu’en 2006. Ils se sont bien rattrapé depuis avec quatre offrandes démoniaques supplémentaires (sans compter les Live, Split et autres compilations), toutes vouées au Black Death Métal le plus rageur et chaotique qui soit

Note du SoilChroniqueur (Arno) : 7/10.
Sortie originale : 06/1997
Les types de Battlesk’rs Productions ont fait très fort en allant retrouver dans les tréfonds de l’underground hexagonal la seule et unique pièce de la discographie d’Asmodée.