
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg): 8/10
Oden Ogan propose à la distribution son best of intitulé The Book of Ogan, recensant les 14 meilleurs titres choisis par le groupe et ses fans dans la discographie du groupe s’étendant de 2008 à 2015. Ma préférence va évidemment pour l’épique et tubesque « We are Pirates ! »
Jusque là, vous allez me dire : « Mais quel est l’intérêt de chroniquer un best of ? Rien de neuf, si ce n’est ce qu’on connait déjà… Si le groupe a jugé que ses meilleurs compos étaient sur ce skeud, pas la peine d’en dire plus : c’est le principe d’un « meilleur de » !» Certes… mais ce n’est pas qu’un simple best of, puisque présenté en coffret double CD et double DVD.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Déjà quinze ans de carrière pour ce quintet de Chicago qui nous aura déjà offert la bagatelle de six albums, deux EP et un split (avec Bible Of The Devil en 2004), et voilà déjà le petit nouveau, « Eat me », à la veille du printemps.
Après quelques écoute, on peut déjà affirmer qu’il porte bien son nom : en effet, ce CD, on ne l’écoute pas, on le dévore jusqu’à plus faim… et même au-delà !
Après un « Sweet salvation » (2014) un rien plus en dedans que ce que le groupe nous avait déjà proposé comme les fabuleux « The last Vegas » (2008), « Bad decisions » (2012) ou surtout le phénoménal « Whatever gets you off » (2009), The Last Vegas se permet le luxe de nous balancer onze titres pour autant de hits potentiels.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Formé il y a douze ans, Bloodbound nous a déjà sorti la bagatelle de six albums, tous de grande qualité, à raison d’en moyenne un tous les deux ans.
Il était temps qu’un live apparaisse : une décennie après la sortie du premier album « Nosferatu » (2006), voilà « One night of blood » et il faut reconnaître que les Suédois ne se moquent pas de leur public !
Un CD / DVD digne de ce nom, rempli ras la gueule, 14 titres pour 69 minutes de musique… et un esprit festif de tous les instants !
Toujours fidèlement ancré dans un heavy / power metal de grande classe, Bloodbound se paie même le luxe de faire apparenter sa musique à un happy metal proche de Freedom Call.

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9,5/10
Ils résument tout en annonçant le onzième titre de ce live : « We are the metal forces »…
Onslaught, une histoire d’amour entamée en 1985 avec la pose sur ma platine du premier album “Power from Hell”.
Ah, ça, j’en aurai usé, des diamants à lire cet album du premier son de cloche de « Damnation » jusqu’au dernier grattement de « Mighty empress ». Avec une tuerie comme ça entre les oreilles quand on a à peine quinze ans, si on m’avait dit il y a plus de trente ans de ça que je chroniquerais un album live de ce groupe on ne peut plus culte sur la scène thrash metal mondiale…
Il avait tout pour l’époque, cet album : ces relents punk et death metal propres à un genre anglais en devenir, qui a vu des Napalm Death, Bolt Thrower ou autre Extreme Noise Terror s’engouffrer dans le genre par la suite.

Note (Wilhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Depuis quelques jours, je me pose cette question – débile, ça va de soi – de savoir si ouvrir ses Shakra est aussi répréhensible que de se bouffer des Abba… Vous vous doutez bien que ce jeu de mots laid me sert d’introduction – rien à voir avec l’ouverture des chakras, là – pour vous présenter l’album High Noon du groupe de Hard Rock mélodique suisse Shakra.
Je ne sais pas quel est votre degré d’ouverture, mais si on le met bien à fond, c’est assez jouissif ici… Je parle du volume sonore d’écoute de cet album, hein… Pour faire court et simple, c’est punchy, catchy,groovy, bluesy et autres anglicismes en « –y »… Mais avant tout Heavy et tant qu’à faire du bon… sur une base hard rock et pas punk (parce que « Shakra punk », ça ressemblerait pas du tout à ce que vous allez écouter… mais passons sur ce deuxième jeu de mots laid).
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Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Rhapsody… Je connais peu de membres du microcosme – ou macrocosme, selon – des TRVE metalleux qui n’aient entendu ce nom, vu que le groupe a démocratisé le genre metal symphonique, au point que, moult fois copiés (et jamais égalés), Luca Turilli, à l’époque encore membre de la dreamteam italienne, avait qualifié « son » groupe de « hollywood metal », tant il voulait que « sa » musique soit l’équivalent d’une bande son de film d’heroic fantasy sur la trame de l’histoire qu’il avait conçue pour ce groupe, qui se voulait être un long projet de concept albums autour de laSaga de l’épée d’émeraude. On s’attendait donc à chaque sortie d’album à la suite de l’histoire narrée en musique sur fond orchestral, le tout avec une dose d’epicness dépassant le seuil admissible pour des oreilles de metalleux fans du noyau dur de gros son et violence, éludant toute finesse mélodique au profit d’une rythmique de plomb.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Onzième album pour Brainstorm, le cinquième avec le même line up, inutile de dire que le groupe est bien rodé.
Avec une moyenne d’un album tous les deux ans, le quintet allemand se permet même le luxe de nous sortir à nouveau un bien bel album.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 1/10
La palme des trente minutes les plus ennuyeuses de 2015 revient sans contestation possible à Glenn Danzigpour son abominable album de reprises « Skeletons ». Putain, rien que la pochette, c’est déjà une horreur, un déballage de pectoraux affaissés et de nichons qui dégringolent, un éboulement de chair sordide qui pue la décrépitude. Et quand la stéroïde cesse de faire effet, ça aboutit à ce truc mou comme une bite de nonagénaire, aussi peu bandant que la blonde siliconée au museau de fouine qui pose pour la postérité. En plus, que fout Tommy Victor sur ce disque ? Il n’est que l’ombre grise de lui-même, desservi qui plus est par une production ridiculement plate. Je ne dirai rien sur le batteur qui a dû enregistrer ses parties pendant une crise de somnambulisme. Tu sens le gars qui joue d’une main tout en se curant le pif ou se grattant les couilles de l’autre : il est translucide.
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Note du SoilChroniqueur (Wilhelm von Graffenberg) : 7/10
-Vous voulez un whisky ?
-Juste un doigt…
-Vous ne voulez pas d’abord un whisky ?
Un fait est indéniable : David Readman est une des voix actuelles reconnaissable dans le metal. Au point qu’il est très sollicité… Chanteur officiel de Pink Cream 69, premier chanteur d’Adagio (le groupe de Stephan Forté), en featuring dans D.C. Cooper (le groupe du chanteur éponyme, hein, pas le chanteur lui-même… après je ne sais pas ce qu’il fait de sa vie privée et « cela ne nouuuuus regarde pas »), Silent Force, dans Free Fall, le énième projet d’un autre touche-à-tout Magnus Karlsson [lien de la chronique], dans le dernier Prometheus de Luca Turilli… Le monsieur a su planter ses talons depuis 1994 et est toujours dans le game.
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Note du SoilChroniqueur (Arno) : 5/10
Que je suis naïf. Moi, quand j’ai vu qu’il y avait un nouveau Manimal, j’ai de suite pensé aux Toulousains ! Et j’ai demandé expressément à pouvoir chroniquer le disque. Mais quand j’ai vu la gueule de la pochette, j’ai compris qu’il y avait maldonne, « Irresistible » enfonçant le clou de l’incompréhension. Manimal, c’est également un groupe suédois de Power Heavy Métal, genre que je déteste tant je le trouve dénué d’un quelconque intérêt.
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