
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Un groupe qui porte à la fois le nom d’un vilain (mineur, certes, mais quand même) présent dans l’univers DC et celui de Marvel, mais également le surnom de celui qui fut présumé être le frère jumeau de Louis XIV emprisonné à la Bastille (parce que, comme pour le Highlander, « il ne peut en rester qu’un »), forcément, ça va attiser ma curiosité. Mais c’est surtout en lisant dans la fiche de présentation l’étiquette « Power Metal » que mon envie d’en savoir plus va se mettre en marche. C’est parti donc pour les 75 minutes de Diabolica, 6ème album d’Iron Mask.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 8/10
« He is back, the Man behind the Mask«
Voici un groupe qui nous a fait connaitre l’Eurovision ! Il faut dire qu’avant le « Hard Rock Hallelujah« , beaucoup d’amateurs de bonne musique n’avaient pas l’idée de ce qu’était ce concours de chant entre pays européens. Il aura fallu attendre 2006 (cela fait quand même dix ans) pour que tous les ans ont ait une pensée pour ces monstres finlandais qui ont réussit à amener de la bonne musique dans un concours qui frise souvent le ridicule.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 9/10
Les fans aimaient certes les morceaux mais avaient du mal à rentrer dans l’album parce que trop différent de ce que le groupe faisait avant : ils rêvaient en outre que l’album soit plus puissant et plus agressif… Brainstorm leur a fait ce plaisir avec ce ravalement de façade dont, de prime abord, on pouvait bien se demander le pourquoi du comment pour un album sorti seulement sept ans auparavant !
« Memorial Roots », sorti en 2009, se voit repasser au mixer et au mastering et le moins qu’on puisse dire, c’est que le résultat est au rendez-vous !
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Note de la Soilchroniqueuse (Excalibur) : 4.5/10
Ça commence comme dans un film noir. Quelques accords de piano assénés, lents et inquiétants. Les poils qui se dressent, les frissons dans l’échine…
Pendant les 30 premières secondes de « Distance », on se dit que pour fêter leurs 20 ans de carrière, les suédois d’Evergrey vont nous avoir concocté un feu d’artifice de power metal.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8/10
Ça y est ! Les allemands ont officiellement leur Amon Amarth national, en la personne, ou plutôt LES personneS du groupe Asenblut. Et le plus dérangeant, c’est que j’ai limite préféré leur troisième album, Berserker, au Jomsviking des suédois.
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Note du Soilchroniqueur (Celtikwar): 8,5/10
Un bon groupe de Heavy, ça te tente?
Oui, mais il y a Heavy et Heavy… Voilà, ça y est, le débat commence… Est-ce que c’est du Heavy Metal à Hymne comme le fait Manowar, du Heavy Metal plus Speed à la Helloween, mais encore un Heavy Metal à la Iron Maiden avec ses guitares ? Un Heavy au chant surpuissant comme Judas Priest ? Un Heavy plus aérien comme la permanente de Twisted Sister ?
La réponse sera : un Bon Heavy et ferme ta gueule!
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Décidément, Charly Steinhauer est un gros bouffeur de musiciens : a-t-il seulement déjà sorti deux albums d’affilée sous le nom de Paradox avec le même line up ? La réponse est malgré tout ‘oui’ : changement de bassiste entre « Product of imagination » (1987) et « Heresy » (1989), carrément un split entre 1991 et 1998, il change tout le monde pour la reformation et « Collision course » (2000), idem pour « Electrify » (2008)… et garde les mêmes entre les quelques vingt mois séparant ce dernier album et le suivant « Riot squad ». Un changement de batteur et de second guitariste plus tard et c’est « Tales of the weird » qui sort fin 2012.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8,5/10
Enfin !
On l’aura attendu, ce treizième album des Flots, si on considère le réenregistrement un rien dispensable du chef d’œuvre de 1988 « No place for disgrace » en 2014 comme un album à part entière, qui nous arrive quatre ans après le très moyen « Ugly noise ».
Mince, ce groupe qui existe depuis 1984 et qui a quand même abrité un des bassistes les plus talentueux en la personne de Jason Newsted entre 1984 et 1986, le temps pour lui d’enregistrer « Doomsday for the deceiver » et de signer quelques titres de l’album suivant.
C’est ensuite, privé de son compositeur principal – un peu comme lorsque Metallica a perdu Cliff Burton dans les circonstances dramatiques que l’on sait – que Flotsam And Jetsam alternera les albums moyens (« When the storm comes down », « Cuatro », « Drift »), dispensables (« High », « Unnatural selection », « Ugly noise ») au milieu de franches réussites (« Dreams of death », « The cold », « My God »).

Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 8.5/10
Je sens que je vais encore passer pour un vieux con adepte de la ritournelle « c’était mieux avant, fuck le jeunisme, blablabla »… ce qui serait partiellement erroné. Mais avouez que de temps à autres, avoir l’impression de retrouver des souvenirs du passé dans de la musique, c’est un peu comme Proust qui se taperait une Madeleine de nouveau (prénom interchangeable par celui d’une ex à qui vous pensez – et là, je viens de vous pourrir votre journée avec cette idée, voire peut-être votre couple actuel, hin, hin, hin…)
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg): 6/10
– Papa, maman… Il faut que je vous le dise enfin… Voilà : j’aime le Power Metal…
– Oh mon dieu, mais qu’est-ce qu’on va bien pouvoir faire de toi ?
– Nan mais j’aime aussi le Heavy, le Thrash, le Death, le Sympho… tout ça, hein…
– Ahhh ?! Bon ok, ça va alors…
Rassurez-vous, cette famille imaginaire – même si la situation me fait marrer, rien que d’y penser – ne m’a pas radié de sa vie ou excommunié. Et puis d’ailleurs, vu qu’elle est imaginaire, qu’est-ce que je pourrais bien avoir à battre ?
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