Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7.5/10
J’ai beaucoup de tendresse pour les anciens… Je ne parle pas des Grands Anciens – qui n’en aurait pas ? – mais pour nos aïeux. On s’émerveille toujours à écouter pépé raconter ses faits d’armes d’une guerre qu’on ne se souhaite pas, pas davantage qu’à nos gosses, ou mémé radoter des « de mon temps, blablabla »… Et puis je me dis qu’à un moment plus ou moins proche – le moins tôt possible quand même – on sera à leur place, à radoter également…
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Et bien non, au Japon, il n’y a pas que des gens qui ne méritent que de se faire railler par un couple de pseudo humoristes, l’un à peine post pubère (du moins sur sa carte d’identité) et l’autre qui ne fait que rêver d’une « banque qui »… Non, au Japon, on a aussi des groupes pour le moins méritants, au moins dans le metal – non, je ne parle pas de visual key, surtout pas, et encore moins des Babymetal – comme Loudness, Anthem ou 44 Magnum pour les plus anciens, mais aussi Fastkill, Church of Misery et les excellents Beyond Description qui nous concernent aujourd’hui !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Être un fan absolu de thrash metal doit-il impliquer automatiquement qu’on doit aimer tout ce qu’on nous propose ? Assurément non !
Malgré tout, on sélectionne un minimum : il y a les albums qu’on va trouver fabuleux malgré une originalité frôlant le zéro absolu, il y a ceux qui rajoutent une belle touche personnelle à une musique réchauffée, et il y a ceux qu’on va trouver d’une inutilité absolue.
Dans le cas d’Adversor, on est de la première catégorie !
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Smashing through the boundaries, lunacy has found me, cannot stop the battery
Pounding out aggression, turns into obsession, cannot kill the battery
Cannot kill the family, battery is found in me
Battery, battery
Et bien non, il ne s’agit pas de ce Battery là : et d’ailleurs, contrairement aux croyances populaires, les cinq Danois n’ont pas pris ce nom en fonction du titre de Metallica !
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Note du SoilChroniquur (Arno) : 7,5/10
Là, je dis oui ! Moi, si on me demande poliment les choses, je ne suis pas le mauvais bougre, je mets une bonne note, sachant reconnaître avec discernement le bon élève. Il faut dire qu’il y a tellement d’ânes, de copieurs, de branleurs de fond de salle qui considèrent qu’un bon look vaudra toujours mieux qu’une copie sérieuse et deux minutes d’analyse qu’il n’est pas compliqué de reconnaître l’étudiant appliqué, studieux, et ce même s’il est sale comme un pou à l’image de Nuclear Aggressor.
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Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 5/10
Vous êtes-vous déjà tapé une barre à imaginer (voire imiter, pour les fans de Didier Gustin) des chansons interprétées par un autre chanteur que l’original, toujours plus improbable. Je ne parle pas de ces gens qui se prennent au sérieux pour faire des compilations « en hommage » (disent-ils), tous sortis de télé-crochets qu’ils ont gagné davantage par leur physique avantageux que par leur talent. Nooon, je parle de versions complètement absurdes, comme « Je t’aime moi non plus » qui serait chantée par Claude François, « Belle » qui serait beuglée en trio par Johnny, Eddy et Dick, d’« Allumer le feu(j) » qui serait aboyée par Le Pen (n’est paaas ?)… Avec Myriad Lights et leur second album Kingdom of Sand, on se trouve un peu dans ce cas de figure – pas celui avec Le Pen, mais de chanteurs improbables sur des chansons incompatibles.
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Note du SoilChroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 7.5/10
Pour Grand Corps Malade, « les histoires d’amour, c’est comme les voyages en train »… Pour moi, c’est comme l’écoute d’un nouvel album.
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Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 8/10
Thrasher un jour, thrasher toujours !
On en reçoit régulièrement, des albums de ce genre ô combien passionnant pour qui aime les riffs saccadés, les rythmiques rapides sur lesquelles se greffent des chants rageurs souvent, criards régulièrement, mélodique dans bien des cas.
Le thrash metal old school, depuis son revival il y a une bonne dizaine d’années maintenant, ne cesse de nous offrir son lot de groupes qui, comme dans chaque style de metal, oscillent entre les catastrophiques et les carrément géniaux.
Si on pouvait émettre un léger reproche au genre, c’est qu’il a une tendance à ne faire que trop rarement dans l’originalité.
Clairement, dès qu’on nous présente un groupe en disant qu’il officie dans le thrash metal old school, on sait grosso modo à quoi s’attendre.
Et pour le fan du genre, c’est tant mieux !
Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7/10
Là, ils se sont fait plaisir !
Formé en 1986, le groupe Italien fait partie des précurseurs du thrash metal transalpin à l’instar de leurs compatriotes de Bulldözer.
En six albums pour le moins corrects entre 1993 et 2013, le groupe jouit d’un statut de valeur sure et chacune de ses sorties est un petit plaisir auditif pour les oreilles des thrashers avertis.
Interviewer : Metalfreak
Interviewé : Mike Alvord (Guitares, Chant)
Traducteur : Willhelm von Graffenberg
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