Raptor King – Dinocalypse

Le 22 juillet 2017 posté par Bloodybarbie

Line-up sur cet Album


• Raptor V : Chant
• Nightsmoke : Guitare
• Indian Shredder : Guitare (soliste session)
• Thomas Jaegle/ Strange Kid Armageddon : Basse (session)
• Don Coco : Batterie

Style:

Tout et n’importe quoi, surtout n’importe quoi

Date de sortie:

13 Février 2017

Label:

Autoproduction/Dooweet Agency

 
Note du Soilchroniqueur (Willhelm von Graffenberg) : 5/10

Le logo « Parental Advisory : Explicit Content » est-il (encore) un gage de qualité ? Vous avez quatre heures !

« On peut aisément se poser la question encore de nos jours, au regard de l’EP Dinocalypse de Raptor King. Nous commencerons par parler de l’aspect visuel, puis nous parlerons de la musique et enfin nous conclurons sur l’intérêt ou le désintérêt de se procurer et d’écouter ces cinq titres.

Comment donner de la crédibilité à un blason aussi « sérieux » quand on joue les Hevisaurus dans ses clips, grimé en vélociraptor chantant au milieu d’une tèc’, ou qu’on intitule un de ses morceaux « The long Way to rock (Pom pom pom pom pom) » ? Difficilement, certes… Mais ça pourrait se valoir quand intégré dans l’esprit d’un artwork qui renvoie au dessiné cartoonesque et un peu crade/mal branlé des albums de Thrash, avec un raptor revêtu d’un sweater Unkut.

En effet, au niveau musical, on part dans l’esprit Thrash old-school, virant un peu sur le Death du morceau éponyme. Les « Fuck ! » tout ce qui passe étant les bienvenus dans le genre, c’est totalement cohérent, et vu qu’on en repère pas mal… Ceci dit, et c’est là, que ça le devient moins (cohérent), c’est quand on tourne au BM sur la piste suivante, puis au Hard Rock/Heavy Metal, voire au gros son sludge ensuite, puis à la ballade country… Admettons mais… ne serait-ce pas du grand n’importe quoi, quelque peu trompeur ?

Pour conclure, on notera donc le pas-sérieux – et donc l’inutilité pratique, hormis pour la référence aux 80’s-90’s, du logo dont nous avons traité durant cette rédaction – du trio de la banlieue parisienne, sciemment choisi d’entrée de jeu, mais qui, s’il se veut être une démonstration de capacités à officier un peu dans tous les genres (et plutôt bien dans l’ensemble, sans être marquant au point de d’user le CD sur sa platine), soit manque son coup en étant trop dans le premier degré et pas assez dans la déconnade/dérision, soit devra à l’avenir éviter de partir dans tous les sens et se trouver une homogénéité avant une streetcred.

A écouter en (re)lisant Le rire d’Henri Bergson (ou ‘Cule un mouton de Alain de Greef). »

Commentaire de correction : aucun style, trop familier dans le vocabulaire et le champ lexical restreint, entre dans les poncifs sans réellement approfondir le sujet, ne faisant que l’effleurer.

Tracklist:

1. Dinocalypse (4:41)
2. The Witch (5:40)
3. The long Way to rock (Pom pom pom pom pom) (5:00)
4. Fight n’ roll (3:28)
5. Lonesome Raptor (4:31)

Facebook: https://www.facebook.com/raptorkingrocks/
Site officiel: http://raptorkingrocks.com/
Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCOyjqMxVlzBfvyFf0ylmosA

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