Darking – Steal the fire

Le 29 mars 2015 posté par Metalfreak

Line-up sur cet Album


Leonardo Freschi - Batterie
Agostino Carpo - Guitares
Mirko Miliani - Chant
Matteo Lupi - Basse.

Style:

Heavy / Speed Metal épique

Date de sortie:

31 janvier 2015

Label:

Jolly Roger Records

Note du SoilChroniqueur (Metalfreak) : 7,5/10


Darking nous vient de Toscane, en Italie !

Dire que la scène italienne en matière de Metal n’est pas la plus connue du monde relève de l’euphémisme mais il faut reconnaître que ce pays nous sort régulièrement des groupes pour le moins talentueux, ce n’est pas après avoir écouté des formations de Heavy Metal comme, entre beaucoup d’autres, Holy Martyr, Rosae Crucis, Tarchon Fist ou autres Elvenking et Vision Divine qu’on va penser le contraire.
Formé en 2005, Darking en est déjà à son deuxième album après le remarqué « Sons Of Steel » sorti en 2010.
Outre une demo en 2005 et deux apparitions sur les tribute à Omen (2012 avec « March On ») et à Strana Officina (2014 avec « The Ritual » sur lequel Jack Starr fait une apparition), le quatuor fait son petit bonhomme de chemin et nous envoie, avec ce « Steal The Fire », l’avertissement que désormais, il va falloir compter avec eux.
Car cet album, comment dire, c’est une petite pépite !
En huit titres pour 53 minutes, Darking nous renvoie en plein milieu des années 80 avec des compos relativement longues et épiques (entre cinq et huit minutes) aux forts relents de Iron Maiden, Warlord, Riot ou Manilla Road.
Leur Heavy Metal est tout ce qu’il y a de plus classique mais avec ce petit truc en plus qui fait que la musique proposée retient toute notre attention.
Dès les premiers accords de « Icarus », on sent qu’on va se régaler : sorte de Speed Metal influencé par la NWOBHM, Darking arrive à nous tenir en haleine tout au long de leurs titres s’étalant sur plusieurs minutes. Un riff introductif rappelant « Love Scream » de Noisehunter sur « Time To Fight » (1986) et la machine est lancée de belle manière avec un refrain à la Running Wild.
La voix de Mirko Miliani, principalement dans les aigus, se veut un bon compromis entre Bruce Dickinson et Tony Moore (Riot) et se fond magistralement dans l’ensemble.
Que ce soit lors de titres speed (« Icarus », le très Iron Maiden « Eldorado », le bonus track « Circle Of Life »), de titres plus épiques (« Steal The Fire ») ou plus heavy (le lent et très Black Sabbath « The Storyteller », le nerveux « I’m A Legend » et son refrain imparable, les guerriers « Killing Machine » et « Stormbringer »), Darking nous propose une musique de classe, avec des compos très bien construites, et qui, même si elles s’étirent dans la durée, font l’exploit de ne jamais être redondantes ni rébarbatives grâce notamment au talent d’écriture de l’ex-Domine Agostino Carpo.

Véritable bain de Jouvence, Darking a su nous proposer un album de très grande qualité qui ravira toutes les générations de fans de Heavy Metal épique, n’omettant pas de faire tirer une larmichette nostalgique à la génération qui a découvert ce genre avec les premiers albums de la NWOBHM.

Superbe !

 

Tracklist :

1. Icarus (5:46)
2. Steal the Fire (8:06)
3. Eldorado (6:42)
4. I’m a Legend (6:14)
5. Killing Machine (6:49)
6. The Storyteller (8:10)
7. Stormbringer (6:08)
8. Circle of Life (5:29)

 


Myspace : http://myspace.com/darkingmetal
Facebook : https://www.facebook.com/pages/Darking/112713178762531

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